Le défilé Armani Privé est certainement l'un des défilés les plus prestigieux de la Fashion Week de Paris, en effet quand on reçoit un carton pour le show, on s'attaque de préférence à la partie "soir" de son dressing, on sort notre plus élégant costume sombre pour ne pas détonner dans le noir ambiant du défilé.
Cette saison Armani s'inspire de l'Asie pour sa collection, plus particulièrement du Japon, en effet le show débute sur la projection d'un chignon japonais, devant laquelle on aperçoit la première silhouette s'élancer, ca commence.
Les yeux s'émerveillent.
Cette saison Armani s'inspire de l'Asie pour sa collection, plus particulièrement du Japon, en effet le show débute sur la projection d'un chignon japonais, devant laquelle on aperçoit la première silhouette s'élancer, ca commence.
Les yeux s'émerveillent.
Dès les premiers passages Armani nous transporte dans un univers poétique, les mannequins, nombreux, sont vêtus de noir, de velours, les épaules marquées et les tailles serrées par de larges ceintures de cuir verni noir.
L'influence japonaise est nette, des robes fourreaux très ajustées et beaucoup de motifs floraux, couleur pastel, qui donnent à la femme une feminité assurée par l'élégance propre à Armani.
L'influence japonaise est nette, des robes fourreaux très ajustées et beaucoup de motifs floraux, couleur pastel, qui donnent à la femme une feminité assurée par l'élégance propre à Armani.
L'ambiance est calme, voire très calme, de part le pas lent des mannequins. La toile de coton laisse place à la soie pour ces kimonos revisités.
Pour sublimer le tout, les mannequins sont parées de coiffures incroyables signées Philip Treacy, le célèbre chapelier qui rend folle la belle Anna Dello Russo.
La brillance des matières rend la femme hyper féminine, hyper élégante, et les couleurs pales lui donnent une certaine délicatesse, mais ne vous meprenez pas, tout comme Uma Thurman dans Kill Bill, la femme Armani Privé, elle tue !
William & David Gonzalez
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